Confronté à un problème de moteur récurrent sur sa Lamborghini Gallardo, un patron chinois (faire) détruire sa luxueuse voiture par ses employés pour protester contre le mauvais service après-vente de la firme italienne.

Lorsqu'il (devenir) propriétaire de cette Lamborghini Gallardo en mai 2010, ce patron chinois (réaliser) un rêve, celui d'accéder au luxe à l'italienne. Six mois plus tard pourtant, le rêve (devenir) cauchemar, le moteur de son bolide refusant de démarrer. Logiquement, l'homme, originaire de la ville de Qingdao, (s'adresser) au service après-vente de la marque au taureau afin de le faire réparer. Mais au retour de sa voiture, non seulement le problème persistait, mais il également (constater) les pare-chocs avaient été endommagés lors de son remorquage.

Il donc (signaler) les faits au service d'entretien, mais ses plaintes (rester) sans suite. Faute de réponse, il donc (s'adresser) à Stephan Winkelmann, le PDG de la branche chinoise de Lamborghini... pour le même résultat ! Furieux, c'est donc vers Volkswagen, le propriétaire du constructeur italien, qu'il (se tourner) ... pour une fois de plus voir ses plaintes rester sans réponse ! Devant le constat d'impuissance devant lequel il était confronté, l'homme donc (décider) de passer à l'action de manière spectaculaire.

Il (profiter) de la Journée mondiale du droit des consommateurs pour confier son véhicule à ses employés avec la mission... de détruire la Lamborghini ! Ce que les travailleurs zélés (effectuer) avec beaucoup de plaisir, à l'aide de masses et de marteaux. Une drôle de fin pour une voiture coûtant entre 529 000 et 757 000 dollars dans l'Empire du Milieu.