
Les tentatives de blocage de dépôt pétrolier se sont multipliées [
] dans la nuit du jeudi au vendredi 22 octobre, tandis que l'accès à la raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne) était dégagé [
] de force par les gendarmes.
Quelque 200 manifestants qui voulaient [
] bloquer le dépôt de carburant Total de Lespinasse, dans la banlieue nord de Toulouse (Haute-Garonne), en ont été repoussés [
] dans la nuit par les forces de l'ordre qui ont utilisé [
] des gaz lacrymogènes. Les manifestants, selon la secrétaire départementale de la CGT, Gisèle Vidallet, ont dû [
] se retirer et ont établi [
] un barrage sur une route proche. Le dépôt de carburant de Coignières (Yvelines) a été bloqué [
] pendant trois heures et demie vendredi matin par une cinquantaine de militants de Sud et FO, avant que la police les délogent [
], sans heurts.
Des manifestants ont bloqué [
] dès l'aube certains accès des grandes villes de l'Ouest, notamment au port de commerce de Brest alors qu'à Nantes, au Havre, à Lorient ou à Vannes des barrages bloquants ou filtrants étaient [
] en place. A Brest (Finistère), tous les ronds-points menant au port de commerce ont été bloqués [
] par des manifestants réunis dès 5 heures et certains avaient allumé [
] des feux de palettes et de pneus sur place. Un des barrages était [
] en voie d'être levé [
] en début de matinée après sommation des forces de l'ordre. Le dépôt de bus de la ville de Brest a été bloqué [
] par les manifestants alors que le ramassage des ordures est suspendu [
] depuis jeudi.